Son pére: Lord Ghurs Defyrs. Sa mére: Myenne. Lorsqu'il était plus jeune, son pére lors d'un voyage de travaux, tomba amoureux d'une belle Phréxienne, Myenne. Fille d'un grand maestro des arts philosophique, elle tomba sous le charme de l'étranger, qu'elle trouvait intéressant. A la fin de son voyage, Myenne suiva Lord Defyrs dans la capitale des Ertziens, mais l'union de ces deux personnes fut vivement désaprouvée. Myenne fut chassée par la famille du Lord, et celui-ci fut forcé de se remarier à une Ertzienne de son rang.
Quelques mois plus tard cependant, un messager d'Yra arriva avec un nourisson: Alcya. Sa Mére était morte pendant sa naissance, aussi les Phréxiens avaient décidés de confier l'enfant à son pére. Alcya grandit dans Galielle, mais son enfance ne fut pas aisée. L'histoire de son pére avait fait un scandale, et elle fut rapidement mise à l'écart par les Ertziens. Suivant l'exemple de son pére, pour tromper sa solitude, Alcya se lanca corps et âme dans les études. Elle se découvrit une passion pour toutes les sciences mécaniques, et atteint le summum lorsqu'elle découvrit une science appelée Astrie, l'étude des constellations. Elle fit considérablement évoluer cette science, et découvrit des nouveaux moyens d'observations. Cela, plus quelques inventions particulièrement utiles firent que le roi s'interessa bientôt à elle. Nommé depuis peu à la tête des Ertziens, il se savait la cible de potentiels prétendants au trône, et chercha trés vite à s'entourer de nouveaux conseillers qui lui seraient fidéles. Alcya, sachant que cette nouvelle position lui permettrait d'accepter à de plus grands priviléges, et pour faire oublier son ascendance Phréxienne, accepta rapidement l'offre. Elle s'investit rapidement dans ses nouvelles fonctions et se lia d'amitié avec le nouveau roi. Elle rencontra une fois le duc de Fresne, représentant des Ertziens au Conseil Suprême, mais au premier abord elle trouva ce personnage plutôt antipathique, et décida de se méfier de lui et d'essayer d'en protéger le roi. Toutefois, malgré le poids de ces fonctions, Alcya se sent depuis quelques temps mal à l'aise parmis les siens. Peu de temps aprés la mort de son pére, elle reçut une lettre de son grand-pére Phréxien, qui lui laissait entendre que sa précense serait souhaitée dans les Archipels enchantés. Cette lettre la perturbe énormément, et elle passe de nombreuses nuits blanches, dans l'observatoire qu'elle a fait construire, à se demander si il ne serait pas temps de quitter Galielle et d'entreprendre un voyage vers ses autres racines. Mais en même temps, cette idée la fait trembler de dégoût. Depuis petite, à force de se faire rabaisser à cause de ses origines, elle finit par haïr les Phréxiens, peut être même plus que les autres Ertziens. Devant ce cruel dilemme qui la déchire, elle s'est renfermée plus que de coutume, et n'a pas pu suivre les derniers évenements de la cours royale. La plupart des autres conseillers, jaloux de sa proximité au roi, ont commencé à lancer des rumeurs étranges sur la nature de ses travaux, et on recommence à la montrer du doigt dans l'ombre.
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